Paris, toujours un bon endroit pour investir dans l’immobilier

investir dans l'immobilier

Alors que les prix de l'immobilier dans la plupart des régions françaises ont chuté au cours des dernières années, le nombre de maisons à Paris à continué à augmenter (un accroissement incroyable de 37 pour cent depuis 2009).

Vu que le président français François Hollande a introduit des hausses d'impôts et réduit les subventions de l'immobilier, il semblerait que le prix de l'immobilier va commencer à chuter dans la capitale, ainsi, même si ce n’est peut-être pas le meilleur moment d'investir si vous êtes à la recherche d'un revenu immédiat sur votre propriété, vous pourriez être en mesure de saisir une bonne affaire si vous êtes vraiment chanceux.

Paris va toujours être un bon endroit pour investir dans des biens immobiliers: «Les prix à Paris ne vont pas chuter...», comme l’a dit Bernard Cadeau, président de l'Orpi, la plus grande agence immobilière de France "...tout le monde quelque soit leur nationalité, veulent acheter à Paris". La pénurie de logements locatifs dans la ville signifie que vous serez toujours en mesure de louer votre maison.

En ce qui concerne les dépenses, l’immobilier à Paris est vendu (et prix) par mètre carré. A titre indicatif, un appartement moyen d'une chambre est d'environ 30 mètres carrés; quelque chose de plus grandiose pourrait aller jusqu'à 500 mètres carrés.

Le type de logement le plus souvent recherché par les acheteurs les plus aisés, c'est-à-dire généralement des appartements bien rénovés de 90 à 120 mètres carrés, dans un immeuble ancien avec ascenseur dans l'une des zones les plus favorisées de la ville, coûtera dans la région de 12.000 euros à 16 000 euros par mètre carré.

Cependant, dans des zones embourgeoisées comme la Butte aux Cailles dans le 13 ème, vous trouverez un pied à terre en bon état pour environ 150.000 euros; et dans des zones moins désirables plus loin, des propriétés à prix aussi bas que 6.000 euros le mètre carré sont souvent disponibles.

Vous pouvez également constater que les vendeurs sont plus disposés à négocier avec les clients qu'ils ne l'étaient les années précédentes - mais ne vous embêtez tout-de-même pas à demander des prix très réduits.

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